Ed Faddies a rejoint le conseil d’administration de Cancer du rein Canada en 2023.
Ed a occupé des postes de direction dans le domaine de la technologie et a acquis de l’expérience dans les secteurs de la finance, des télécommunications et, plus récemment, dans l’industrie du détail. Ed a passé plus de 20 ans au sein de la Société Canadian Tire (SCT) où il a occupé des postes de direction de la technologie soit le déploiement de l’infrastructure technique, la direction du bureau de gestion des projets technologiques et le renforcement des défenses de la SCT en tant que chef des opérations de cybersécurité de l’entreprise. Actuellement, Ed est responsable des plates-formes matérielles des magasins, y compris le réseau, les serveurs et les postes de travail de plus de 1 700 points de vente de la famille d’entreprises de Canadian Tire.
Ed est un patient dont le parcours a commencé au début de l’année 2020 lorsqu’il a reçu un diagnostic de carcinome rénal à cellules claires découvert fortuitement. Il a subi plusieurs interventions et traitements au cours des mois et des années qui ont suivi, notamment une néphrectomie partielle, une néphrectomie radicale, une lobectomie thoracoscopique vidéoassistée, une ablation par radiofréquence et de la radiothérapie stéréotaxique (SBRT). Il reçoit actuellement un traitement systémique pour sa maladie métastatique.
Ed a pu profiter des ressources et des programmes de soutien importants de Cancer du rein Canada et les a trouvés inestimables tout au long de son parcours. La vidéothèque, les documents de soutien aux patients, les forums de patients et les conseils d’experts, ainsi que les cafés-rencontres, lui ont été très utiles. Lorsque l’occasion s’est présentée à lui de « rendre la pareille » en rejoignant le conseil d’administration de Cancer du rein Canada, il l’a fait avec enthousiasme.
On my 22nd birthday, doctors found “something” (apparently the official medical term) on my left kidney. Although they weren’t sure exactly what it was, my doctors decided to treat it as if it was actually a cancerous tumour and planned for a surgery that would not potentially release any of the “thing”‘s cells into the rest of my body. I underwent a radical nephrectomy about a month and a half after the discovery and post-operative analysis showed that the “thing” was papillary cell cancer. The doctors were sure that they had managed to remove the entire tumour without any sort of rupture and so decided that no further treatment was necessary. That was almost nine years ago. The only lasting repercussions have been the need for an annual scan and an appreciation for life that most people my age do not have.
